arghaelle, esprit frappée.

L'autre côté de la Lune

Mais qui es-tu, au juste ?

Nom : heu… elle l’a oublié.
Prénom : Arghaelle
Âge : 14 ans (en réalité plus mais bon, qu’est-ce que le temps à l’échelle spirituelle…)
Sexe : féminin
Poste dans l'établissement
(élève, enseignant ...) : élève rouge (mais ça fait quelques années qu’elle a oublié de changer sa cravate bleue, qu’elle porte par affection… ça ne choque personne, elle est trop enfantine pour ça.
Classe : esprit
Élément : air
Oste ? (familier) : heu… non ?
Autre chose ? : (Une arme favorite, un goût, etc ...) elle aime la lune.

Montre toi ! ♥

L'image de votre avatar (pas trop grande je vous prie)

Une phrase ? Le nom de votre personnage ? Un dicton ? Ici
"Hmm? Ah pardon j’étais autre-part..."

Creusons un peu en toi, veux-tu ...

Personnalité :

la jeune fille est perdue dans ses pensée, tout le temps. On dit qu’elle est dans les nuages, dans la lune… eh bien c’est vrai. Et lorsqu’on lui fait la remarque, elle est généralement ailleurs donc elle n’en tient pas compte. En clair en résumé, elle est rêveuse et elle n’est pas menaçante pour autant, jamais. A vrai dire… la naïveté et l’innocence qui se dégagent de ses dires en font une enfant gentille et drôle à la fois. Mais dès qu'elle engage des conversations sérieuses, elle semble toujours se perdre dans des pérégrinations intellectuelles existentielles et pourtant parfaitement… inutiles. En effet ses conversations sont généralement d’une grande maturité, dès lors qu’elle ne daigne que très peu parler « concret ». Sombrant dans l’abstraction, et dans les sujets plus assommants les uns que les autres, elle se met à paniquer dès qu'elle se rend compte qu'elle se lance dans de longs discours philosophiques épuisants. Ainsi préfère-t-elle lorsque vient le moment de jouer, d’être simple, d’être la demi-enfant qu’elle devrait être, dès lors elle se laisse guider généralement par ses aînés, priant pour ne pas faire de bêtise, mais riant aux éclats tout de même.
On pourrait penser, elle est influençable donc. En réalité, elle a horreur qu’on lui dise ce qu’elle doit faire. Si elle se tait et exécute un ordre, bien que cela l’énerve, elle cherchera à son tour un stratagème généralement habile, pour amener son interlocuteur à ne pas la manipuler. C’est le paradoxe marque l'unique contraste dans son caractère, vestige d'une riche existence en tant qu’esprit très longue.
Elle n’aime pas vraiment la violence. Ainsi elle évite le combat… lorsqu’elle comprend que la tension monte. Car généralement sa douce naïveté a le don d’énerver les plus pragmatiques, et elle ne se rend pas compte qu’elle y joue parfois sa vie. Cependant… Il lui arrive de s’énerver. Généralement lorsqu’on l’a poussé dans ses derniers retranchements, ou qu’on a fait du mal à ceux qu’elle aime. La riposte est cinglante, violente, peu maîtrisée donc brutale, et extrêmement sadique. Une fois qu’elle a attrapé sa proie, sa jeunesse prendra le pas sur sa sagesse, et elle va se déchainer dans une violence qu’elle veut exemplaire.
Elle reste dans tous les cas une petite fille sage, humble et généralement altruiste quand elle est à même de pouvoir interagir avec les gens autour, d’elle, son orgueil se situant généralement dans les compliments qu’on lui fait et dans l’affection qu’on lui porte. Une sorte de rondoudou introverti quoi.

Physique :

On ne peut que tomber sous le charme de cette jeune adolescente plus proche de la mignonette fillette, le bout de chou qui fait fondre petits, grands et péd… bref, en clair, par son teint blanc légèrement rosé, par sa longue chevelure immaculée aux mèches noircissantes, par ses yeux vairons, vermeille pour le droit, ambre pour le gauche, Arghaelle semble avoir à peine une demi-douzaine d’année, portée par les plus craquante petites de maternelle. Un chaton dont les sourcils, curieux de tout, viennent agrémenter l’absence d’un sourire sur la bouche d’un enfant perdu, supportée par un menton légèrement avancé, et des pommette accompagnant avec justesse deux joues roses très légèrement rebondies.
Cependant… elle n’est pas ce qu’elle est. Quiconque de précis et d’examinateur pourrait l’affirmer. Dans ses rares sourires, ses canines proéminentes cachent un passé éteint. Dans ses grands yeux généralement mi-clos on sent la fatigue. Une lourde fatigue qui cache de sombres secrets. Et ces yeux, s’ils n’étaient pas constamment perdus dans les étoiles, pourraient fausser toute cette image enfantine que semble se donner l’adolescente.
Car il lui reste en effet un corps relativement petit (un mètre cinquante-quatre) mais doté d’une poitrine déjà formé, donnant de jolies courbes à un tronc finement taillé. Si dans ses bras on ne reconnait aucun muscle athlétique, son abdomen est celui d’une danseuse, et ses épaules semblent dégager, une détente sauvage. Il n’en reste pas moins un air de petite fille plus proche de ses huit ou dix ans que des quatorze ans physiques qu’elle a réellement. Très portée sur les fantômes, elle aime se balader en robe de nuit blanche dans les couloirs et traverser ainsi les murs en émettant des longs gémissements, qu’agrémentent évidemment sa voix fluette et qui ne semble pas encore avoir muée. Autrement elle porte l’uniforme du lycée, agrémentée d’une cravate bleue qu’elle n’a pas changé depuis ses huit ans… nostalgie ou daltonisme, allez savoir…
Enfin, elle porte souvent un cache de pirate pour masquer son œil vairon. Elle se plait à dire que c'est parce que son œil cache un pouvoir surpuissant, mais tous le monde sait qu'elle raffole des pirates.

Histoire :

Lorsqu’un nouveau croise Arghaelle dans un couloir, généralement la question est anodine : « qui c’est ? ». Et l’autre de répondre : « je ne sais pas, elle a toujours été là dit-on.
Cela fait en effet un petit moment que la jeune fille se balade dans les murs du château, à tel point que l'on dit souvent qu'elle est son âme, la personnification même des ces lieux... et ce n'est pas totalement faux.
Il est difficile de retracer l’origine de la jeune fille, mais à l’accent légèrement rauque, et à certains signes distinctifs, on la sent venant d’une époque noire. L’époque où le grondement sourd du tonnerre métallique accompagnait les éclairs à l’horizon. Où La pluie était cylindrique, pointue et bourrée de poudre et de nitroglycérine. Où le bourdonnement des aigles d’acier, emplissant le ciel par millier annonçaient la fin d’un règne de terreur qui avait plongé le monde dans le chaos durant six années. Et on l’entendait répéter « qui suis-je ? Fraulen m’appelaient-on.. fraulen arghaelle. » Certains élèves affirment que les rares fois où ils l’ont vu près d’un âtre brûlant, elle se sentait mal à l’aise et se mettait même à pleurer. Ses voisins de chambres affirment même qu’une nuit, alors qu’elle avait daigné dormir sous forme matérielle, emmitouflée dans ses couvertures elle gémissait, prise d’un cauchemar ou elle voyait la lune à travers le plafond de bois en flamme, seul réconfort dans un océan ardent, alors que son monde s’effondrait autours d’elle. Elle accompagne ses gémissements de quelques mots : « mutti… »… « warm »… Les conclusions sont alors vite tirées, certains disent Dresde, d’autre Berlin… dans tous les cas, son origine est trop douloureuse pour que quelqu’un vienne à lui demander pourquoi est-elle devenue un esprit.
On dit qu’elle était là depuis fort longtemps, et qu’elle est immortelle. Elle vieillit physiquement. Elle choisit de vieillir. Bien qu’elle soit réticente, elle se l’oblige. Ainsi depuis qu’elle est au château, elle prend doucement de l’âge, gagnant un an tous les dix-quinze ans, approximativement. Elle a prise 8 ans physiques depuis qu’elle est arrivée, et 60 ans d’existence, venant compléter sa jeune vingtaine. Elle a tant de fois erré dans les couloirs de ce château qu'elle les suit instinctivement dès qu'elle doit aller quelque part. Elle en connais les moindres recoins, les moindres allées à la perfection... mais elle les arpentent avec une telle distraction qu’elle ne s’y retrouve jamais dès qu'elle se met à réfléchir à sa destination. Elle manque tellement de concentration en fait, qu’elle s’évertue à rester en cours plusieurs années de suite dans la même classe pour être sûre d’avoir bien tout compris. On la confond parfois avec la gérante du ménage au sein de l’établissement parce que dans un élan d’indignation elle s’est parfois mise en tête d’éliminer toute la crasse des vieux bâtiments, et ainsi parcourir les couloirs, balais et plumeaux à la mains, pour tout nettoyer.
Les gens s’en souviennent en outre comme d’une apparition faisant partie intégrante du château, une mignonette fillette, rêveuse, et aux occupations plus ou moins fantasques.

Mais qui diable tire les ficelles ?

Nom & prénom ? : El Fuego! De la conga del Fuego, Olé!... hum … pardon.
Âge ? : quelques 18 allant sur leurs 19.
Et tu viens d'où au juste ? : SDF. Don’t ask, don’t tell.
Comment t'es arrivé là ? je suis venu, j’ai bu, j’me souviens plus…
Un dernier truc à dire ?: Make tea, not war.

Messages : 21 Date d'inscription : 19/06/2012 Age : 32 Localisation : Bli

Bli ! *ceci est une marque d'affection déposé, veuillez ne pas vous en offusquer et en aucun cas la reproduire.*

Voilà. Premier message.

J'aime beaucoup ce personnage, je sens qu'on va se croiser bien assez tôt Very Happy

!

avec plaisir^^ il m'arrive de retravailler la fiche pour y corriger ou ajouter quelque éléments, soit dit en passant. Un joli corps, c'est bien, mais s'il est soigné, c'est mieux.

VAAAAAAAAAAAA....lidé! Je sais pourquoi mais je connais ce style... Très bien même....
Bref, c'est ma dernière validation avant d'aller en vacances, chers amis.
Boilà et bienvenue parmi nous, jeune padawan!

Bienvenue ^^

gracias, gracias... c'est trop d'honneur, j'en suis ému aux larmes....

Mais je l'aime cette petite ! La squatteuse du Château !

Bienvenido ! Encore une espagnol ?

En espérant que tu t'amuse bien,

Une joueuse plus enthousiaste que son personnage.